Aujourd’hui, je vous propose un article un peu particulier, concernant plutôt mon métier.
Cela me tient à cœur car dans mon âme de militante, résistante, je me dois d’éviter les idées reçues et remettre l’église au milieu du village.
J’ai choisi ce métier par passion, c’est donc naturel pour moi, d’apporter mon aide aux personnes désireuses de retrouver une pleine santé et par moment, ma pratique est mise à mal par certains individus qui généralisent les praticiens et les cas.
Ces derniers temps, on retrouve des articles, des reportages, des documentaires sur la naturopathie, et essentiellement ses dérives, sans apporter de contre poids (comme est censé démontrer un journaliste) pour éviter de mettre tous les naturopathes dans le même panier.
Je pense que des dérives, il y a en a dans tous secteurs d'activité, et également dans le secteur de la santé, bien entendu, mais je ne me sens pas concernée par ces extrêmes, car la première leçon que l’on nous apprend en école de naturopathie, c’est « pimere non nocere » (premièrement, ne pas nuire) que l’on retrouve dans le serment d’Hippocrate.
Cette phrase m’habite au quotidien dans ma pratique afin d’aider au mieux et de manière singulière mes consultant.e.s et être au plus proche de la cause de leur problématique.
1. Non je ne soigne pas, car je ne suis pas médecin
--> J’accompagne au moyen de 3 piliers majeurs
· Bromatologie (sciences alimentaires, bio-nutrition)
· Kinésiologie (activité physique)
· Gestion du mental (psycho-émotionnel)
--> Et à l’aide de 7 autres techniques
· Pneumologie (techniques respiratoires)
· Hydrologie (utilisation de l’eau : bains, sauna, hammam, tisane…)
· Phytologie (usages de plantes)
· Chirologie (techniques manuelles)
· Réflexologie (techniques des zones réflexes)
· Energétiques (techniques de régulation et d’harmonisation)
· Actinologie (techniques vibratoires : son, lumière solaire, couleurs)
2. Non je n’exclus pas les techniques modernes
La naturopathie étant une médecine ancestrale, elle ne reste, cependant, pas figée, et au contraire, elle évolue, s’adapte à notre environnement actuel, et s’enrichit des connaissances scientifiques précieuses à l’évolution de notre pratique.
3. Non la naturopathie ne guérit pas tout, par les plantes.
Je ne suis pas phytothérapeute, mais ma formation m’a permis d’acquérir des notions et de pouvoir les utiliser comme un outil supplémentaire (voir-ci-dessus), mais ce n’est pas une obligation. Le but étant de travailler sur la cause, si nous utilisons que des plantes nous rentrons dans une pratique allopathique et donc symptomatique.
Les plantes doivent rester une aide précieuse à l’auto-guérison
4. Non, ce n’est pas forcément être ou devenir vegan
La naturopathie n’exclut pas la viande, qui reste une bonne source de protéines, mais elle limite sa consommation.
Après, chaque personne, souhaite et décide de ne plus en consommer, c’est propre à chacun, et je n’obligerai aucunement à un consultant de ne plus manger de viande, de même pour le crudivorisme pur.
Je pourrais en citer davantage pour rétablir des fondements et rappeler que la naturopathie reste une pratique holistique basée sur l’équilibre du corps (l’homéostasie), et de l’hygiène de vie.
Ce n’est ni une secte ou une pratique sectaire, nous ne sommes pas des gourous illuminés sans fondement scientifique, nous ne refusons pas la médecine, ni les progrès de la science, ce n’est pas un régime à la mode (sachant que c’est une pratique ancestrale), nous ne faisons pas des miracles à base de plantes, ce n’est pas manger des graines et des produits sans saveur, ce n’est pas éliminer les aliments que l’on aime et qui nous font plaisir (la notion de plaisir existe en naturo).
Une consultation n’est certes pas remboursée par la sécu mais certaines mutuelles la prennent en charge.
Pour conclure, j’aime dire que mon métier permet aux personnes de redevenir acteur de leur propre santé, et mon rôle est de les accompagner le mieux possible.
Le terme "éducateur de santé" serait donc plus approprié.
Cela me tient à cœur car dans mon âme de militante, résistante, je me dois d’éviter les idées reçues et remettre l’église au milieu du village.
J’ai choisi ce métier par passion, c’est donc naturel pour moi, d’apporter mon aide aux personnes désireuses de retrouver une pleine santé et par moment, ma pratique est mise à mal par certains individus qui généralisent les praticiens et les cas.
Ces derniers temps, on retrouve des articles, des reportages, des documentaires sur la naturopathie, et essentiellement ses dérives, sans apporter de contre poids (comme est censé démontrer un journaliste) pour éviter de mettre tous les naturopathes dans le même panier.
Je pense que des dérives, il y a en a dans tous secteurs d'activité, et également dans le secteur de la santé, bien entendu, mais je ne me sens pas concernée par ces extrêmes, car la première leçon que l’on nous apprend en école de naturopathie, c’est « pimere non nocere » (premièrement, ne pas nuire) que l’on retrouve dans le serment d’Hippocrate.
Cette phrase m’habite au quotidien dans ma pratique afin d’aider au mieux et de manière singulière mes consultant.e.s et être au plus proche de la cause de leur problématique.
1. Non je ne soigne pas, car je ne suis pas médecin
--> J’accompagne au moyen de 3 piliers majeurs
· Bromatologie (sciences alimentaires, bio-nutrition)
· Kinésiologie (activité physique)
· Gestion du mental (psycho-émotionnel)
--> Et à l’aide de 7 autres techniques
· Pneumologie (techniques respiratoires)
· Hydrologie (utilisation de l’eau : bains, sauna, hammam, tisane…)
· Phytologie (usages de plantes)
· Chirologie (techniques manuelles)
· Réflexologie (techniques des zones réflexes)
· Energétiques (techniques de régulation et d’harmonisation)
· Actinologie (techniques vibratoires : son, lumière solaire, couleurs)
2. Non je n’exclus pas les techniques modernes
La naturopathie étant une médecine ancestrale, elle ne reste, cependant, pas figée, et au contraire, elle évolue, s’adapte à notre environnement actuel, et s’enrichit des connaissances scientifiques précieuses à l’évolution de notre pratique.
3. Non la naturopathie ne guérit pas tout, par les plantes.
Je ne suis pas phytothérapeute, mais ma formation m’a permis d’acquérir des notions et de pouvoir les utiliser comme un outil supplémentaire (voir-ci-dessus), mais ce n’est pas une obligation. Le but étant de travailler sur la cause, si nous utilisons que des plantes nous rentrons dans une pratique allopathique et donc symptomatique.
Les plantes doivent rester une aide précieuse à l’auto-guérison
4. Non, ce n’est pas forcément être ou devenir vegan
La naturopathie n’exclut pas la viande, qui reste une bonne source de protéines, mais elle limite sa consommation.
Après, chaque personne, souhaite et décide de ne plus en consommer, c’est propre à chacun, et je n’obligerai aucunement à un consultant de ne plus manger de viande, de même pour le crudivorisme pur.
Je pourrais en citer davantage pour rétablir des fondements et rappeler que la naturopathie reste une pratique holistique basée sur l’équilibre du corps (l’homéostasie), et de l’hygiène de vie.
Ce n’est ni une secte ou une pratique sectaire, nous ne sommes pas des gourous illuminés sans fondement scientifique, nous ne refusons pas la médecine, ni les progrès de la science, ce n’est pas un régime à la mode (sachant que c’est une pratique ancestrale), nous ne faisons pas des miracles à base de plantes, ce n’est pas manger des graines et des produits sans saveur, ce n’est pas éliminer les aliments que l’on aime et qui nous font plaisir (la notion de plaisir existe en naturo).
Une consultation n’est certes pas remboursée par la sécu mais certaines mutuelles la prennent en charge.
Pour conclure, j’aime dire que mon métier permet aux personnes de redevenir acteur de leur propre santé, et mon rôle est de les accompagner le mieux possible.
Le terme "éducateur de santé" serait donc plus approprié.
